C’est en date du mercredi 26 décembre 2018, que Congo Peace Network a réuni plus de 70 personnes dans la salle de l’hôtel Kivu Dream, pour une conférence autour du thème « comment calculer les voix des candidats pour être élu : seuil d’éligibilité ».
Tout au long de son exposé, l’oratrice du jour, en la personne de Me Félicité MUGOMBOZI, chercheuse et analyste scientifique, enseignante à la faculté de Droit de l’ULPGL, a éclairci l’opinion des participants sur la question du seuil d’éligibilité, tout en visant les objectifs suivants :
Lors de leurs réactions, les participants ont soulevé des questions relatives à la répercussion du seuil d’éligibilité sur les suppléants des députés nationaux et provinciaux ; l’inadaptation de cette révision légale à la politique congolaise et enfin à l’effectivité de la tenue des élections en RDC.
En réponse à ces questions, l’oratrice a rappelé aux participants que la révision légale était l’apanage de la CENI qui a jugé bon et utile la répartition des sièges sur base du seuil d’éligibilité, elle a interpellé les jeunes, leur demandant d’être confiant par rapport au processus électoral que conduit la CENI et donc à la tenue des scrutins le 30 décembre 2018, et pour finir, elle a insisté sur le fait qu’atteindre le seuil d’éligibilité et le dépassé pour un candidat ne donne pas droit à son suppléant d’obtenir un siège.
Signalons qu’un sentiment d’inquiétude et de manque de confiance pouvait se lire sur les visages des participants, suite à l’annonce faite du report et de la passation séquentielle et fractionnée des élections.
C’est en date du mercredi 26 décembre 2018, que Congo Peace Network a réuni plus de 70 personnes dans la salle de l’hôtel Kivu Dream, pour une conférence autour du thème « comment calculer les voix des candidats pour être élu : seuil d’éligibilité ».
Tout au long de son exposé, l’oratrice du jour, en la personne de Me Félicité MUGOMBOZI, chercheuse et analyste scientifique, enseignante à la faculté de Droit de l’ULPGL, a éclairci l’opinion des participants sur la question du seuil d’éligibilité, tout en visant les objectifs suivants :
Lors de leurs réactions, les participants ont soulevé des questions relatives à la répercussion du seuil d’éligibilité sur les suppléants des députés nationaux et provinciaux ; l’inadaptation de cette révision légale à la politique congolaise et enfin à l’effectivité de la tenue des élections en RDC.
En réponse à ces questions, l’oratrice a rappelé aux participants que la révision légale était l’apanage de la CENI qui a jugé bon et utile la répartition des sièges sur base du seuil d’éligibilité, elle a interpelé les jeunes, leur demandant d’être confiant par rapport au processus électoral que conduit la CENI et donc à la tenue des scrutins le 30 décembre 2018, et pour finir, elle a insisté sur le fait qu’atteindre le seuil d’éligibilité et le dépassé pour un candidat ne donne pas droit à son suppléant d’obtenir un siège.
Signalons qu’un sentiment d’inquiétude et de manque de confiance pouvait se lire sur les visages des participants, suite à l’annonce faite du report et de la passation séquentielle et fractionnée des élections.
Voici la conference en revue